Article publié sur le site de l’Institut Montalembert et reproduit ici avec l’aimable autorisation de ses fondateurs. Dans son nouvel essai, L’Écologie ou l’ivresse de la table rase (Éditions de l’Observatoire), la philosophe, Bérénice LEVET, s’interroge : Comment expliquer que l’écologie, censée être guidée par le souci de la préservation, soit devenue l’étendard des progressistes […]
Lire cette source depuis Le nouveau conservateur