La Coquille

La Coquille est une gabarre-écurie française construite à La Seyne-sur-Mer en 1811 et lancée en janvier 1812. Elle navigue d'abord en Méditerranée, sur les côtes d'Afrique du Nord et d'Espagne. Une fois remis en état et réaménagé pour des voyages au long cours, ce trois-mâts jaugeant 380 tonneaux et portant quatorze pièces de canon est reclassé en corvette. Le navire est utilisé par Louis Isidore Duperrey pour son voyage de circumnavigation scientifique des années 1822–1825. Rebaptisé L'Astrolabe lors de son départ de Toulon le 10 avril 1826, sous le commandement de Jules Dumont d'Urville (l'ancien second de Duperrey), le bâtiment prend alors part à une deuxième circumnavigation avec à son bord treize officiers et soixante-six hommes, dont les médecins Joseph Paul Gaimard et Jean René Constant Quoy1. Sa nouvelle dénomination est un hommage au navigateur La Pérouse (dont l'un des deux bateaux s'appelait aussi L'Astrolabe) car, parmi les missions dévolues à l'expédition Dumont d'Urville, figure la recherche des traces de ce devancier disparu en 1788. Durant son voyage, qui enregistre des acquis scientifiques importants, Dumont d'Urville parvient effectivement à retrouver le 21 février 1828 dans l’île de Vanikoro des indices probants2 du naufrage qui avait mis un terme à l'expédition de La Pérouse. Il y fait célébrer une messe et ériger un petit monument sur la côte en mars 1828. Le bâtiment rejoint Marseille le 24 février 1829. Le bilan scientifique est surtout marqué par le dessin de cartes hydrographiques d’une grande précision, des observations physiques, astronomiques, ethnographiques, de nombreux spécimens biologiques et plus de soixante îles et îlots que prétend avoir découvert Dumont d’Urville1. D'Urville avait chargé le jeune mais prometteur François-Edmond Pâris de l'hydrographie et du soin de dessiner toutes les embarcations des peuples du Pacifique3. L'officier-dessinateur de l'expédition est Louis-Auguste de Sainson et accumule environ 500 dessins.

Cloud : découvrez les graves dangers d’une mauvaise configuration

La technologie Cloud est un outil puissant. Elle peut offrir aux organisations la possibilité de stocker, de gérer et d’accéder aux données de manière sécurisée et rentable. Cependant, une grande puissance s’accompagne d’une grande responsabilité.

À mesure que les entreprises transfèrent une plus grande partie de leurs données vers le cloud, le risque d’une mauvaise configuration augmente. Une mauvaise configuration des services peut entraîner des failles de sécurité, des violations de données et d’autres erreurs coûteuses.

Azure : une configuration cloud ouvre une faille sur le pare-feu

Sur Microsoft Azure, un pare-feu intégré protège continuellement les bases de données SQL. Cette protection peut être configurée pour permettre la connectivité entre les bases de données et les applications. 

Cette connectivité est gérée par le paramètre “Allow Azure Services”. Avec la ligne de configuration « AllowAllWindowsAzureIps », Azure autorise toutes les connexions à partir de n’importe quelle connectivité. À ce moment-là, les connexions contournent le pare-feu mis en place. En d’autres termes, la base de données est exposée à n’importe quel client d’Azure. 

Si Azure SQL autorise la connexion des IP publics, la base de données est vraiment accessible par n’importe quels autres clients du service. 

AWS : le paramètre par défaut expose publiquement une API

En tant que solution big data, Amazon Web Service offre des fonctionnalités de traitement des données, d’analyse interactive et d’apprentissage automatique. Ce service se décline sous le nom EMR.  Il réalise tout cela à l’aide de frameworks open source. L’un des prérequis du cadre Hadoop, sur lequel EMR est basé, est Yet Another Resource Negotiator (YARN).

Toutefois, AWS ne dispose pas d’un contrôle de sécurité qui empêche d’autres utilisateurs d’ajouter de nouvelles applications sur le serveur EMR. Il est important de noter que de telles capacités ne sont pas activées par défaut dans AWS

Cette faille sur la configuration par défaut passe inaperçue, car elle se situe à un niveau plus enfoui. Mais elle représente tout de même un point à risque.

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